Foire aux questions
Les questions les plus fréquentes...et leur réponse
Le contrat de fiducie qui protège vos liquidités est de droit suisse : cela permet d’allier sureté et souplesse dans un environnement légal aguerri à cette forme contractuelle. En outre, CoofiTal, la coopérative qui opère le service Talsafe, est placée sous l’ombrelle réglementaire suisse particulièrement connue pour la défense des droits des particuliers et des entreprises.
Une fois décidé de ne pas inclure le dollar US dans les actifs définissant le panier, les devises retenues l’ont été sur la base de leur importance économique à l’échelle de la planète, tant en quantité qu’en poids dans les échanges internationaux. . L’Europe et l’Asie sont représentées à parité par trois devises chacune, complétées par de l’or physique. Le panier est composé d’un montant fixe de devises et d’or, le poids de chacune des composantes varie donc dans le temps. Enfin chaque composante du panier est liquide et convertible de sorte que le panier est lui-même liquide et convertible constamment. La composition du panier est fixe et n’est susceptible d’évoluée que suite à la non-convertibilité ou non-liquidité de l’une de ses composantes.
Outre les droits classiques de membre d’une coopérative de droit suisse, CoofiTal s’engage à permettre un audit de son service TalSafe trimestriel : un organisme d’audit de réputation internationale est choisi chaque trimestre par les membres au travers d’un vote de choix dans une liste prédéfinie. Cet organisme a pour tâche de vérifier la correspondance entre le nombre de Tal détenu par les clients et l‘existence et la présence sur les comptes et dans les coffres de la coopérative des devises et or du panier.
Les éléments fondamentaux des clients-membres de CoofiTal, contrat de fiducie et clef cryptée d’accès aux coffres, sont gérés et stockés sur une blockchain :
Le protocole est de type Delegated Proof of Stake, c’est-à-dire que les nœuds de la chaine sont cooptés parmi les membres agréés de la coopérative.
La chaîne n’est pas « minée » mais « stakée » donc avec une empreinte écologique légère.
L’algorithme de validation est « optimally Byzantine fault-tolerant », ce qui protège l’intégrité de la chaine tant qu’il y a moins de deux tiers d’attaquants malveillants.
Outre les aspects sécurité, disponibilité constante et accessibilité supérieurs à l’informatique bancaire classique, le recours à ce type d’infrastructure permet au système de fonctionner même en cas de panne informatique de la coopérative CoofiTal.